Lundi matin, je me réveille barbouillé. Nausées, sueurs froides, je me rends compte très vite que je ne pourrai pas conduire.
Georges décrète une journée de repos, le temps que je me rétablisse. De fait, je dormirai un jour et une nuit.
Tout le monde en profite pour laver les camping-cars, faire quelques courses en ville. L’apéro du soir se fera sans moi.