Retour en mode stationnaire sur la côte atlantique.

Notre périple nous mène de Taliouine (1.046m) vers la côte atlantique. Notre destination : un élevage de canards près de Tifnit, conseillé dans les magazines pour ses produits locaux.

Le trajet se déroule sans encombre via Taroudannt que nous contournons avant de prendre la direction d’Agadir. En chemin, nous observons une scène désormais classique : des bergers font grimper leurs chèvres dans les arganiers, monnayant les photos auprès des touristes .

L’élevage de canards étant désert et les propriétaires introuvables, nous poursuivons jusqu’au camping La Palmeraie à Tifnit, un havre de paix bordé de bougainvilliers.

Le lendemain, direction Tiznit pour quelques boutiques. Les campings étant toujours complets, nous nous replions une fois de plus sur Aglou Plage pour une pause bien méritée, propice aux lessives et au repos. Nous y retrouvons pour l’apéro nos amis Huguette et Didier.

Le 14 février 2025
Retour à Tiznit. Les campings affichent toujours complet tout comme notre restaurant réservé pour la Saint-Valentin.

Nos amis nous l’ayant recommandé, nous déjeunons à la Station Shell à l’entrée de la ville. L’endroit est original pour y installer un restaurant attenant à la station. Tout y est remarquablement propre tant en salle qu’en cuisine. Nous nous régalons d’un délicieux couscous du vendredi pendant que Trankilou profite d’un lavage bien nécessaire.

Le samedi se partage entre repos et promenades. En fin de journée, une rencontre providentielle : Saïd, qui passe, propose d’installer un radar de recul sur le camping-car d’Alain pour un prix dérisoire et de réparer notre moustiquaire pour 60€ – une aubaine comparée aux 900€ demandés chez nous pour un remplacement. Comme il le dit si bien : « Au Maroc on répare, chez vous on jette et on remplace. »

Le dimanche matin, nous explorons le village voisin de pêcheurs troglodytes. Une belle excursion, mais le vent violent de la nuit a empêché les sorties en mer. Nous ne pourrons pas acheter de poissons.

À notre retour, Saïd a tenu parole : notre moustiquaire est impeccablement réparée. Une vraie chance après trois ans de recherches, j’avais enfin eu une proposition mais n’avais heureusement pas encore payé l’acompte.

Des amis rencontrés à Tiznit et installés au camping vont essayer de nous réserver de la place pour quelques jours avant de mettre le cap sur Marrakech.​​​​​​​​​​​​​​​​

Une réponse sur “Retour en mode stationnaire sur la côte atlantique.”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.